mercredi 6 décembre 2017

Jean d'Ormesson

Au moment où je mets cet article en ligne, Johnny Halliday, lui aussi, vient de nous quitter. 

Je n'ai pas l'habitude de faire l'éloge et la nécrologie d'une personne sur mon blog mais la disparition de Jean d'Ormesson, Jean Bruno Wladimir François de Paule Le Fèvre d'Ormesson de son vrai nom, que mon père admirait, m'a touché et ce n'est que dans quelques années que l'on percevra le vide sidéral laissé par sa disparition.

Les cinq livres emblématiques de son œuvre.



















 "J'ai beaucoup ri. J'ai ri du monde et des autres et de moi. Rien n'est très important. Tout est tragique. Tout ce que nous aimons mourra. Et je mourrai moi aussi. La vie est belle", a t-il écrit dans "C'était bien" en 2003...

Je l'ai adoré dans "Les saveurs du palais" :


Je n'en retiendrai que deux mots : Épicurien et espiègle!

Son dernier ouvrage à paraitre en février. Un véritable clin d’œil à sa disparition qu'il avait décrite et anticipée.

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