Les Lumières de la ville est au même titre que Les Temps modernes un long adieu que Charlie Chaplin fait au cinéma muet.
Charlie Chaplin considérait que l’intérêt visuel et gesticulant du personnage devait l’emporter sur une mobilité plus restreinte due à la parole qui positionne davantage dans l’immobilisme. Il désirait également conserver la suprématie du mouvement pur, l’apport de la voix risquant de démasquer dans le personnage une seconde nature.
Ces deux films sonores, sans dialogue, précèdent son premier film parlant, Le Dictateur.
Voilà la scène de la fleuriste aveugle
et la musique du film.
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